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"  MORGAN  "

 


MORGAN  . . . Harpe et Chants Celtiques

 

Morgan . . . Celle qui de ses doigts de fée a déjà fait vibrer nombreuses cordes de harpes mais aussi nombreux cœurs d'amoureux de cet instrument merveilleux. . . . Jeune harpiste Bigoudène passionnée de culture celtique, elle découvre la harpe à l'âge de deux ans. Ce n'est que six ans plus tard qu'elle touchera à cet instrument de légende . . . Morgan part en Irlande passer sa Licence d'Anglais, avec comme principal bagage sa harpe qui la relie à la Bretagne. Elle chante son amour des terres celtes et de leurs traditions dans différentes langues afin de partager sa propre culture avec tous.

Magie celte avec MORGAN

Morgan se révèle être une virtuose de la harpe celtique, sa maîtrise de la harpe n'a d'égal que sa voix et son incontournable présence sur scène. Il est des artistes qui iront loin, on le sent, on en est sûr. Elle chante à vous couper le souffle, le bonheur total d'entendre cette superbe voix, un moments de magie pure.Cette jeune artiste revêt une aura toute particulière lorsqu'elle chante, le public est sous le charme, comme si la fée Morgane lui avait jeté un sort.


MORGAN ensorcelle le public

Cette jeune bigoudène interprète un récital à prédominance irlandaise. Deuxième prix au Kan ar Bobl, première partie de Tri Yann, Morgan est une artiste confirmée et passionnée. Elle a, au fil de sa harpe, su communiquer son enthousiasme pour ces histoires tristes et joyeuses, mais toujours pleine de magie. La chanteuse et harpiste Morgan fait voyager le public par des airs traditionnels , anglais, gaélique irlandais et écossais,et bien sûr, un chant en breton ( dédié à sa grand-mère fervente bretonnante.

MORGAN, chanteuse née de la mer

A la maison, on a toujours chanté, Maman chante, papa aussi en s'accompagnant, sa soeur "Léanick" le faisait aussi comme sa grand-mère de Loctudy : Angèle Péron dont certains ont encore dans la tête l'entrain et les superbes mélodies. Le chant chez les Touzé, rien de plus naturel. C'est sans doute pour cela que Morgan - littéralement né de la mer - l'équivalent breton du "Morgane" de sa carte d'identité française, joue et chante sans artifice, au naturel, sans supporter le poids de laborieux cours de solfège ou de chant. " Je joue et chante à l'oreille et ce que j'appelle travailler, c'est jouer devant et pour les autres". Consciente de ses qualités et de ses limites Morgan privilégie l'émotion plutôt que la technique irréprochable et absolue. "Je ne suis pas perfectionniste" précise t-elle dans un éclat de rire et avec juste ce qu'il faut de provocation. "Ce qui m'intéresse c'est l'ambiance d'un concert, c'est le contact avec le public et l'émotion des mélodies. C'est la raison pour laquelle je ne place pas mon instrument au centre de ma performance. Il est simplement là pour m'accompagner".
MORGAN, une voix de cristal

" MORGAN "Morgan, une voix limpide, chaude, douce, qui se joue des gamme, accompagnée de sa harpe celtique, elle va faire vibrer le public en démontrant toute la richesse de la musique celtique, un vrai ravissement. Les chants irlandais, écossais ou bretons soutenus par les accords mélodieux d'une harpe celtique blonde, vont merveilleusement résonner au Centre des Arts et de la Culture de Concarneau. Le spectateur devient voyageur au fil des chansons, passant d'une histoire à une autre à des époques différentes, comme cette hitoire de trois frères écossais qui partent en mer pour devenir pirates et attaquer les anglais. Les yeux fermés, vous pourrez presque sentir sur votre peau ce vent frais qui souffle sur les hauts plateaux d'Ecosse, ou la douce pluie des plaines d'Irlande couler dans le cou, à en frissonner de bonheur.

En 1998 la jeune harpiste de Plomeur a sorti un CD de 13 titres " Born of the sea " et elle a déjà son public d'admirateurs. Morgan sera à Concarneau samedi 18 août 2001.


MORGAN TOUZE
" TARA"
LESTREMINOU
29120 PLOMEUR

02.98.66.05.81



LA HARPE, instrument méconnu . . .

" Petit historique de la harpe "


La harpe est un des plus vieux instruments de notre histoire. Elle est née de l’arc dont la corde, tendue et relâchée, vibre et émet un son. Les premiers vestiges datent d’environ 3500 ans avant Jésus-Christ et nous montrent que cet instrument à été utilisé sur tous les continents. Le nombre de cordes et la forme variaient en fonction de l’évolution des civilisations, des besoins de la musique et de l'exigence d'inépuisables raffinements musicaux. A ses débuts, la Harpe était un instruments universel : on la célèbre sur tous les continents et toutes les catégories sociales s'expriment à travers son art. L'instrument original évolue en Europe sous plusieurs variantes : la Harpe Troubadour, la Harpe Celtique, la Harpe Irlandaise et la Harpe Classique.

"Son évolution du Moyen-âge jusqu’à nos jours à travers trois harpes"

La harpe celtique
La harpe dite "Harpe celtique", contrairement à ce que l'on pourrait penser, est relativement récente. Certains disent que son origine est galloise,chose certaine, elle est la reconstitution de la harpe médiévale (La lyre) connue depuis plus de cinq mille ans. La harpe médiévale était un instrument de musique "soliste" courant les rues où elle accompagnait les conteurs sur les places publiques. Nous la retrouvons aussi sur une multitude de documents iconographiques comme les croix sculptées en Irlande ou les vitraux d'églises gothiques européennes. Elle possède généralement 34 cordes en nylon et en métal, les cordes métalliques permettant de faire les sons graves. Cet instrument possède une rangée de palettes situées en haut des cordes. Ces petit loquets vont permettre de changer la hauteur du son de chaque note, faisant ainsi les bémols, bécarres ou dièses. Le nom de « Harpe celtique » vient du fait que les pays celtes l’ont tout particulièrement utilisée et mise en valeur.
La harpe troubadour
Petit instrument possédant 22 cordes en nylon, ne faisant que des sons aigus. Elle tient son nom des troubadours, trouvères et ménestrels qui utilisaient ce type d’instrument pour accompagner chants, danses et récits. Période de référence : le Moyen-âge (allant du Vème au Xvème S.)
La harpe classique
C’est la plus grande des trois harpes .Elle possède 47 cordes en boyau et en métal, couvrant à peu près la tessiture d’un piano.7 pédales sont placées au niveau du socle de l’instrument, une par note de musique, permettant ainsi de faire les altérations (bémols, bécarres ou dièses).Son nom vient de l’époque classique qui lui a permit d ‘évoluer dans sa conception technique et musicale.

La harpe, emblème national d'Irlande depuis au moins le XIIIe siècle, est à l'origine d'une contradiction flagrante portant sur l'image de cette musique irlandaise: malgré une faveur récente qui doit vraisemblablement beaucoup au travail de Jorj Cochevelou et à la médiatisation de son fils Alan, plus connu sous le nom de Alan Stivell, elle reste un instrument rare en Irlande même.

La renaissance de la harpe celtique en Bretagne
La harpe celtique connaît les prémices de sa résurrection en Bretagne avec le mouvement nationaliste breton, parfois marqué par ses opinions conservatrices, dès le début du XXème siècle.


La renaissance de la harpe en Bretagne est symbolique d'un renouveau de la musique
Et encore plus largement de la culture bretonne.